

Patrick Bauer
Marathon des Sables
Enregistrement réalisé par Philippe FOURNIE


Croire en ses rêves et ne jamais baisser les bras car tout est possible.
Laisser le temps au temps, l’accepter et ne pas être impatient.
Ecouter sa petite voix intérieure qui vous guide sur votre chemin de vie. Vous seul pouvez décider de vivre votre passion jusqu’au bout et il n’y a pas de satisfactions sans efforts.
Le plaisir que nous procure nos actions doit être notre seule préoccupation pour construire notre bonheur et un monde meilleur.
Vivre l’instant présent dans la bienveillance, le respect et la solidarité.
Quand tu désires intensément quelque chose tout l’univers conspire pour t’aider à réaliser tes rêves.
Résumé du Parcours
Plusieurs traversées du Désert en voiture et deux années de voyage en Afrique de l’ouest ont nourrit cette idée de parcourir à pied et en autosuffisance alimentaire et hydrique une portion du Sahara en douze jours sur une distance de 350 km. L’envie de faire partager cette expérience et de créer un concept sport/Aventure proche de cette expédition a donné naissance, deux ans plus tard au premier Marathon Des Sables avec 23 pionniers qui étaient loin d’imaginer que les empreintes qu’ils laisseraient dans le désert marocain marqueraient le début d’une aventure qui célèbrera son 35ème anniversaire en Octobre 2021.
C’est l’amitié, la fidélité et la passion partagées par mes deux compagnons d’expédition qui ont forgé ma détermination à donner vie à cette belle aventure humaine. Le soutien inconditionnel de Marie, ma compagne et son engagement à travailler avec moi sur le développement de ce beau projet malgré qu’il ait été précurseur ou totalement fou pour d’autres, m’a donné la force de franchir tous les obstacles pour réussir cet incroyable défi.
Le parcours a été semé d’épreuves difficiles mais comme l'a écrit l’artiste Banksy "Les winners ne sont pas ceux qui n’ont pas d’échecs mais ceux qui n’abandonnent jamais".
Partenaires ou organismes ayant aidé le projet
Une banque, le crédit Mutuel, au travers d’un homme qui m’a fait confiance et qui avait traversé le Sahara en 2CV quand il avait mon âge et un industriel qui m’a prêté l’argent qui me manquait pour payer notre avion trois jours avant notre départ.