de vous à moi

Ta seule limite est celle de ton imagination.

Fais confiance à ton “feeling intérieur”…

MON  PARCOURS EN
QUELQUES MOTS

Ma scolarité ne s’est pas très bien passée à partir de la 4ème. Je n’étais pas un cancre à proprement parler, mais excepté le dessin et la musique, rien ne m’intéressait vraiment. Beaucoup plus concentré sur les amis et les filles…

Après avoir redoublé ma troisième, j’ai failli la tripler… Je n’ai pas eu mon BEPC non plus, ce qui fait qu’il était urgent de trouver quoi faire de ma peau. A cet âge, j’étais tout le temps en train de fabriquer des maquettes, de faire des LEGO, de dessiner, ce qui fait que je me suis orienté vers la filière des Compagnons du Devoir dans le métier de cordonnier bottier. J’ai choisi le même métier que mon frère aîné qui était lui aussi bottier. Maintenant, je peux dire que je l’ai choisi par “hasard”…

Et là ça été une révélation !! Sorti de 3ème pour entrer directement dans le monde du travail. À cette époque, une des particularités du compagnonnage était de vous séparer de vos parents d’au-moins 400 km. Je me suis donc retrouvé à Marseille pour ma première ville.

Entouré de garçons comme moi, venant de tous horizons, je me suis très vite adapté. Je commençais mes journées à 7h du matin jusqu’à au moins 23h et ce pendant 7 ans, le temps qu’a duré mon tour de France. En aucun cas cela n’a été une souffrance. Dur oui, mais pas une contrainte. J’étais entouré d’hommes de métier et je passais ma vie et mon temps dans les ateliers. Ça a été très formateur et tellement épanouissant pour moi. C’était totalement ce qu’il me fallait.

ensuite je suis revenu sur Paris, et j’ai rejoint mon frère qui avait entre-temps ouvert un atelier. Nous avons travaillé 20 ans ensemble, et avons amené une nouvelle façon de voir la botterie artisanale. Nous avons créé une belle marque qui est toujours présente et qui bénéficie toujours d’une jolie réputation en France et à l’international.

Après 20 ans dans cette entreprise, j’ai ouvert mon propre atelier afin d’explorer un autre potentiel. Jolie marque aussi en progression dès la 1ère année mais qui a été stoppée net avec le covid.

Maintenant, je suis auto-entrepreneur en botterie et joaillerie, car j’aime vraiment les matières, et je ne peux me résoudre à n’en travailler qu’une seule. De ce fait, je suis devenu quelque peu sculpteur aussi.

Christophe Corthay et Alexis Lafont se sont associés pour imaginer ces « bagues à Bandit », qui portent le nom évocateur de « LOVE METAL ».

Mes passions ? La plongée sous-marine, le modélisme, le dessin, la peinture, la sculpture de figurines.

mes soutiens

J’ai reçu le meilleur apprentissage qui puisse être avec les Compagnons. Cela m’a permis d’explorer quantité d’ateliers et m’a permis dans ma profession de rencontrer tout un tas de personnes qui m’ont aidé et ouvert l’esprit.

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